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D'après une enquête de la Vlaamse Patiëntenplatform, de nombreuses personnes ne savent pas exactement ce que le droit au consentement éclairé implique, bien qu'il s'agisse de l'un des 9 droits des patients. Lorsqu'il s'agit de votre santé, c'est vous qui êtes aux commandes ! Et votre prestataire de soins est votre copilote de confiance: ensemble, vous tracez la meilleure route pour obtenir des soins optimaux.

En tant que patient, vous avez le dernier mot. C'est donc vous qui décidez si vous autorisez un acte médical. Aucun traitement ne peut être commencé, poursuivi ou interrompu sans votre consentement. Bref, personne ne peut vous obliger à suivre un traitement.

Que veut dire consentement "éclairé"?

Donner son consentement est une chose, mais il doit aussi être éclairé. Cela signifie que votre prestataire de soins doit vous fournir des informations claires et complètes au préalable. Cela inclut, par exemple, le but du traitement, son degré d'urgence, sa durée, les éventuels effets indésirables ou risques, les alternatives, l'aspect financier, etc.

Ce n'est qu'en étant bien informé(e) que vous pourrez faire un choix conscient et libre.

Pour le partage de vos données de santé

Votre consentement n'est pas seulement requis pour des actes médicaux, mais aussi pour permettre aux prestataires de soins qui vous traitent d'accéder à vos données de santé en ligne. Ils peuvent ainsi mieux collaborer et vous offrir des soins de meilleure qualité. N'hésitez pas à consulter l'article Comment et pourquoi partager vos données de santé en toute sécurité? pour obtenir plus d'informations à ce sujet.

Votre consentement peut également être tacite

Le consentement ne doit pas toujours être explicite. Parfois, vous le donnez tacitement, par exemple lorsque vous tendez spontanément votre bras après que le médecin vous a demandé de faire une prise de sang. Mais la règle reste la même : votre consentement est toujours nécessaire.

Vous pouvez refuser ou retirer votre consentement à tout moment. Le prestataire de soins doit alors vous expliquer les conséquences possibles, mais votre décision doit toujours être respectée.

Et si vous n'êtes pas en mesure de donner votre consentement ?

Il est parfois impossible de demander votre consentement, par exemple si vous perdez connaissance à la suite d'un accident. Dans ce cas, les prestataires de soins commenceront immédiatement tous les traitements nécessaires, en considérant toujours votre santé comme prioritaire.

Et si, en raison d'une maladie telle que la démence, vous n'êtes plus en mesure de décider vous-même ? Dans ce cas, vous pouvez dès maintenant préciser les traitements que vous ne souhaitez pas recevoir dans une telle situation : pas de réanimation ou d'alimentation artificielle, par exemple. Pour ce faire, vous pouvez rédiger une déclaration anticipée négative.

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